Une journée qui n'en fini plus.

4h05: La nuit à déja engloutis toutes les rue de Bordeaux.
Je suis dans mon lit, toujours devant cette écran où j'écris ce qui passe dans ma tête.
Je doit avoir un probléme grave, quelque part entre mon coeur et mon cerveau.
J'aime, j'aime, j'aime, j'aime, j'aime, j'aime comme un fou je répéte inlassablement ce mot.
Je suis ou devient fou. Je ne sais plus à quel stade j'en suis.
...
Le jour, et je m'en rend compte maintenant, je feins l'intelligence, je feins le normal, le bien paraître.
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Mais une fois dans mon lit, je me rend compte que ce n'est qu'une grande mascarade, un grand spéctacle que j'offre au autres.
Je ne sais plus où je met les pieds. Quelque part entre le vide, et l'invisible.
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Mes idées sont en train de s'entassé sur ma rétine pour éclaté sur mon écran. Alors je ferme les yeux pour mieux les retenir, et ce sont mes mains qui prenne le relé.
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J'écris en me posant toujours la même question, pourquoi ? Pourquoi écrire tout ça ici. Peut étre pour expier, cracher, comme ces peintres abstrait qui prenne une couleur dans un pots, et la jéte sur une toile.
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Que ce qui lise ces mots ce manifeste, même si aucune idée ne vous viens à l'esprit en lisant, ces choses que j'écrit comme on pisse, écrivez.
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Suis je en train de me posé la question suivante: ce que j'écris signifie t'il quelque chose ?
Je n'en est aucune idée d'autant plus que je ne me relis pas.
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Pour finir, je vais taire son prénom, mais il est la clef. J'ai besoin de lui comme chaque être humain à besoin d'air pour respirer, j'ai besoin de lui comme les poissons on besoin de leur bronchi pour respirer sous l'eau, j'ai besoin de lui comme les oiseaux on besoin d'ailes pour volé, j'ai besoin de lui, j'ai besoin de lui, j'ai besoin de lui.
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Pourquoi, comment, pour quel raison. Je ne sais pas, je ne l'explique pas. Dois je me justifier ? Non. Dois je chercher à comprendre là ou n'y as rien à comprendre ? Non
Alors je regarde ma montre, 4h19.
...
Que quelqu'un réponde à cette simple et unique question, suis je fou ?

Comments

[l'exploreure]

on l'est tous , ou on la frolle constament , elle nous fait peur quand on s'en rend compte , mais la folie est constament présente , c'est se qui nous pousse a et nous aide a vivre , quelqun de censé choisirai automatiquement la mort dans un tel monde.

[Z]

Ne sois pas trop dur avec toi même. Tu joues juste le jeu de la vie parmi les autres hommes. Il se trouve que toute connection avec l'autre fait naitre en nous des angoisses, des peurs, bouleverse l'équilibre qu'on a peine à créer dans notre âme quand on est fasse à nous-mêmes.
Temps de pause, temps d'émoi. C'est la tout le sens d'une vie.
Je ne crois pas que tu sois fou non.
ps: merci pour se moment de poèsie avec ton pirate. Je suis sensible moi aussi à ses petits cadeaux de la vie. Grâce à toi, j'ai pu quelques instants ressentir la douceur angevine des jeunes enfants.